Et c’est parti pour la deuxième journée de ces Quais virtuels. L’occasion de découvrir de nouveaux auteurs et de romans qui viendront alourdir notre PAL. Vous me suivez ?
Samedi 4 avril :
7h30 ➡️ Une vidéo de Christian Blanchard
Christian Blanchard, nous avions fait sa connaissance hier, et ce matin, il nous fait une belle présentation de ses romans.
J’avais noté « Angkar » hier et ce matin, je rajoute « Iboga ».
8h ➡️ Un texte de Peter Kaldheim
C’était la première fois où il était invité aux Quais. Il nous parle de son roman ‘Idiot Wind ». Déjà le titre me plait bien, la couverture est belle.
« J’avais 37 ans, j’étais sans emploi et fauché. Pour couronner le tout, j’étais sans abri, excepté le casier où je conservais mes fringues et mes affaires de toilettes à Penn Station. Bref, ma vie n’avait rien de glorieux, il fallait juste y survivre, et pour ça, je n’avais personne d’autre à blâmer que moi et mes complices : l’alcool, la cocaïne et un travers bien ancré que mon vieux professeur de philosophie grecque aurait appelé akrasia – une faiblesse de caractère qui pousse certain à agir contre le bon sens. Si le grec n’est pas votre truc, appelez-le comme Bob Dylan: idiot wind. »
Une autre manière de découvrir les auteurs, je note Pierre Kaldheim, son parcours de vie est passionnant en plus.
8h15 ➡️ Une vidéo de François-Henri Soulié
Découvert hier, François-Henri Soulié se confie un peu plus à nous, par rapport à son travail, ses idées, ses convictions et sa passion pour l’écriture.
8h30 ➡️ Les coups de cœur de la Librairie Les Volcans
Suite des coups de cœur de la Librairie Les Volcans, débutés hier.
« Sang chaud » de Kim un-su (Matin calme)
Huisu, homme de main pour la mafia de Busan, atteint la quarantaine avec pas mal de questions. Jusque-là, il n’a vécu que pour les coups tordus, la prison, les exécutions, tout ça pour se retrouver dans une chambre minable, seul, avec pour horizon des nuits passées à dilapider son argent au casino. Il est temps de prendre certaines résolutions.
Avec un solide couteau de cuisine dans son poing serré.
“Joueuse” de Benoit Philippon (EquinoX)
Maxine est une de ces femmes à qui rien ne résiste. Elle tombe sous le charme de Zack, joueur de poker professionnel comme elle, mais elle n’en montre rien. Un manipulateur professionnel ne dévoile jamais son jeu. Maxine propose à Zack une alliance contre un concurrent redoutable. Piège ou vengeance… Zack n’en sait rien. Mais comment résister à la tentation du jeu ?
Maxine est une tornade qui défie le monde si masculin des joueurs de poker. Elle est bien décidée à régler ses comptes, coûte que coûte.
« Et soudain tout change » de Gilles Legardinier (Pocket)
Pour sa dernière année de lycée, Camille a enfin la chance d’avoir ses meilleurs amis dans sa classe. Avec sa complice de toujours, Léa, avec Axel, Léo, Marie et leur joyeuse bande, la jeune fille découvre ce qui fait la vie.
A quelques mois du bac, tous se demandent encore quel chemin ils vont prendre. Ils ignorent qu’avant l’été, le destin va leur en faire vivre plus que dans toute une vie… Du meilleur au pire, avec l’énergie délirante et l’intensité de leur âge, entre espoirs démesurés, convictions et doutes, ils vont expérimenter, partager et se battre. Il faut souvent traverser le pire pour vivre le meilleur…
8h45 ➡️ Les auteurs préférés d’Alafair Burke
Fille du célèbre James Lee Burke, Alafair Burke, dont le bestseller américain “Un couple irréprochable”, vient de paraître aux éditions Presses de la Cité nous recommande des romans qui l’ont marquée.
10h15 ➡️ Claire Favan adresse un mot à ses lecteurs.ices
Quel plaisir de revoir Claire, même par écran interposé !
Elle nous présente son nouveau roman « Les cicatrices », paru depuis peu chez Harper Collins.
J’ai hâte de le lire !
Centralia, État de Washington. La vie d’Owen Maker est une pénitence. Pour s’acheter la paix, il a renoncé à toute tentative de rébellion.
En attendant le moment où il pourra se réinventer, cet homme pour ainsi dire ordinaire partage avec son ancienne compagne une maison divisée en deux. Il est l’ex patient, le gendre idéal, le vendeur préféré de son beau-père qui lui a créé un poste sur mesure. Un type docile. Enfin, presque. Car, si Owen a renoncé à toute vie sociale, il résiste sur un point : ni le chantage au suicide de Sally ni les scènes qu’elle lui inflige quotidiennement et qui le désignent comme bourreau aux yeux des autres ne le feront revenir sur sa décision de se séparer d’elle.
Mais, alors qu’une éclaircie venait d’illuminer son existence, Owen est vite ramené à sa juste place. Son ADN a été prélevé sur la scène de crime d’un tueur qui sévit en toute impunité dans la région, et ce depuis des années. La police et le FBI sont sur son dos. L’enfer qu’était son quotidien n’est rien à côté de la tempête qu’il s’apprête à affronter
10h30 ➡️ Interview de Patrice Gain
Une interview réalisée en ligne, pour présenter son nouveau roman « Le sourire du scorpion » sorti en début d’année chez Le Mot et Le Reste.
Il nous décortique les diverses influences qui ont façonnés son envie d’écrire, mais également son besoin de placer ses personnages dans des lieux bien particuliers.
Chaque roman est inspiré d’un fait divers, mais c’est également un lieu, une atmosphère. De part sa formation en environnement, il est très attaché à la santé de notre planète et cela transpire dans ses écrits. La dimension de la Nature y est très présente.
C’est décidé, Tom, Luna et leurs parents descendront le canyon de la Tara en raft. Une belle étape de plus dans leur vie nomade. Pourtant, malgré les paysages monténégrins époustouflants, la complicité familiale et la présence rassurante de Goran, leur guide serbe, la tension envahit peu à peu le canyon et le drame frappe, sans appel.
Du haut de ses 15 ans, Tom prend de plein fouet la violence du deuil et de la solitude. Dans l’errance qu’engendre le délitement de sa famille, il découvre la grande douleur, celle qui fissure les barrières et ouvre les portes à ceux qui savent s’engouffrer dans la détresse d’autrui. Mais, en dépit du chaos, Tom ne peut s’empêcher de retracer les événements et le doute s’immisce : ne sont-ils pas les victimes d’une Histoire bien plus grande que la leur?
« Terres fauves » est sorti en poche, c’est l’occasion de découvrir cet auteur !
David McCae, écrivain new-yorkais en mal d’inspiration et citadin convaincu doit quitter Brooklyn pour l’Alaska dans le but de terminer les mémoires du gouverneur Kearny. Le politicien visant la réélection, il envoie son porte-plume étoffer l’ouvrage d’un chapitre élogieux : le célèbre alpiniste Dick Carlson, ami de longue date, aurait de belles choses à raconter sur leurs aventures. Direction Valdez pour David, vers le froid, les paysages sauvages et un territoire qui l’est tout autant. Plus adepte du lever de coude que de l’amabilité, l’alpiniste n’en est pas moins disert et David en apprend beaucoup. Trop. Devenu gênant, la violence des hommes, et celle d’une nature qui a préservé tous ses droits, va s’abattre sur lui et l’obligera à combattre ses démons pour survivre.
Une interview vraiment riche qui m’a permis de découvrir cet auteur, je le note ! Les résumés de ces deux ouvrages intéressent beaucoup.
Interview réalisée par Joël Bouvier d’Auvergne-Rhône-Alpes Livre et Lecture, qui a pour mission générale l’accompagnement et la valorisation de la filière du livre et de la lecture en Auvergne-Rhône-Alpes.
10h30 ➡️ La recette confinement par Olivier Norek
Olivier Norek ! Quel clown ! Il nous livre ses recettes pour survivre au confinement. OK, on va essayer de faire baisser nos PAL, mais là, franchement, avec ces Quais virtuels, je sais pas vous, mais moi elle va encore prendre un volume dangereux…
« Suivez les guides, ou les traces de sang, ça revient au même. » OK chef !
Voici les liens vers les chroniques des deux derniers romans d’Olivier : « Surface », « Entre deux mondes » .
11h ➡️ 3 suggestions de séries par Anthony Bussonnais
Bon, je ne suis pas série télé….Donc, pardonnez-moi, mais je vais squizzer ses conseils de séries pour vous parler des romans d’Anthony !
Son petit dernier, « Un samedi soir entre amis » est sorti en février dernier chez Préludes.
Claire, inquiète, consulte à nouveau son portable. Il est vingt heures passées et son petit-ami, qui était censé venir la chercher, est introuvable. Cela fait bientôt six mois qu’ils sont ensemble, Claire le connaît bien. Medhi est toujours à l’heure.François est extrêmement organisé. Grâce à lui, la soirée du samedi est devenue un évènement incontournable que ses voisins, choisis avec le plus grand soin, ne rateraient pour rien au monde. C’est le moment idéal pour décompresser et se relâcher.En plein cœur de la forêt, Medhi est nu. Il tremble. Malgré l’obscurité, il parvient à repérer plusieurs personnes autour de lui, les rires vont bon train, tout le monde semble à la fête… Mais qu’attend-on vraiment de lui ?
Il me plaît bien celui-ci…Quant à « Chasse 160618 », rien que le résumé me met des étoiles dans les yeux !!!!
À la nuit tombée, près de Saumur, un groupe d’individus se réunit en pleine forêt pour une chasse qui restera sans aucun doute à jamais gravée dans leur mémoire. Une chasse sans pitié ni répit. La seule chance de s’en sortir, pour leur proie, c’est de courir. Le plus vite, et le plus loin possible, courir. À quelques kilomètres de là, Claire s’inquiète d’être sans nouvelle de son petit ami qu’elle devait retrouver. Elle va tout faire pour lever le voile sur sa disparition. Quel qu’en soit le prix.Quand le secret des uns fait le malheur des autres.
11h15 ➡️ Quiz photo « Qui est-ce ? »
Le quiz photos du jour, c’est parti ! Il y a du beau monde !
11h45 ➡️ Une enquête par Julian Press pour le 7-10 ans (Goethe Institut)
Transformez-vous en détective et résolvez les énigmes en compagnie des personnages de la série policière ‘Agence Malice et Réglisse’ de l’auteur allemand Julian Press, proposées par le Goethe-Institut de Lyon. 🔎
Peu importe que ce soit pour les 7-12 ans, avec Maëlys nous nous sommes posées au soleil pour résoudre cette enquête et cette histoire de pigeons ! Cela a permis de passer un moment ensemble.
On a tentée notre chance pour le concours, on verra bien. Affaire à suivre. D’ici là, nous allons observer les pigeons qui traînent dans le coin…
12h ➡️ Une vidéo de Craig Johnson
Craig Johnson a participé à plusieurs éditions des Quais. J’ai souvenir de ce mec souriant, volubile, à la bouille sympa, que l’on remarque de loin avec son chapeau de cow boy à la JR Ewing.
Il nous accueille dans son ranch du Wisconsin pour nous parler de ses personnages, de l’écriture, mais aussi de gastronomie. D’ailleurs, il nous précise que le meilleur cheeseburger qu’il a mangé était à Paris, un américain qui dit ça ! Plutôt flatteur pour nous, français !
Une vidéo très sympa, à l’image de Craig.
12h30 ➡️ Une vidéo de Pétronille Rostagnat
Pétronille nous présente son dernier roman, « Un jour tu paieras », sorti le 29 janvier aux Editions Marabout.
En poussant un cri pour me donner du courage, je lève les bras au-dessus de ma tête. Avant que tu ne réagisses quinze centimètres de lame s’enfoncent dans ta chair. »
Une adolescente, retrouvée inconsciente en pleine forêt, émerge lentement du coma. Que lui est-il arrivé ?
Pendant que la police mène l’enquête, Pauline Carel, jeune avocate pénaliste, est commise d’office pour défendre Mathieu, un brillant étudiant en médecine accusé d’un double homicide.
Carriériste, ambitieuse et perfectionniste, Pauline y voit l’opportunité de se faire un nom. Alors qu’elle se bat pour blanchir son client, elle est rattrapée par son passé…
J’avais connu Pétronille en 2018, au salon que j’organise chaque année dans ma région, et je vous propose ma chronique de « La fée noire » .
J’espère la croiser de nouveau très vite pour découvrir son nouveau roman, qui me fait de l’œil depuis sa sortie. J’attendais les Quais pour craquer, va falloir que je change de stratégie !
13h30 ➡️ Un quiz pour les fans de polar par La Manufacture de Livres
2ème jour et nouvelles photos :
Indice : publié en feuilleton de 1908 à 1909.
Réponse : « L’aiguille creuse » de Maurice Leblanc
I
Réponse : « Un Noël de Maigret » de Georges Simenon
14h ➡️ Sophie Loubière
Sophie Loubière nous présente le blog relatif à l’écriture de « Cinq cartes brulées », où nous allons pouvoir trouver toutes les réponses que l’on peut se poser : blog de Sophie Loubière
Elle y raconte tous ses états d’âme de sa vie de romancière. Super intéressant ! Belle initiative.
15h ➡️ Facebook live avec Franck Thilliez
Les facebook live sont dans l’air du temps et permettent de voir et d’interagir avec les auteurs. Perso j’adore !
Un live très enrichissant, où les sujets tenant à cœur à Franck ont été abordés. Il revient sur le confinement et la pandémie que nous sommes en train de vivre. Son roman « Pandémia » est pile dans l’actu. A relire ! Terriblement visionnaire…Lorsque je m’étais plongée dans ce roman à sa sortie, il m’avait fait froid dans le dos. Mais à la fois, je me disais que c’était de la fiction, que les probabilité de vivre un tel évènement étaient extrêmement faibles, et pourtant.
Il revient également sur ses habitudes d’écriture, son travail d’écrivain, une belle manière de mieux connaître Franck, de passer un long moment avec lui, ce qui change des salons, je dois bien l’avouer.
Franck fait partie de mes auteurs préférés, je vous laisse les liens vers mes chroniques de ses romans :
« Rêver », « Conscience animale » , « Sharko » , « Le manuscrit inachevé » , « Luca » .
17h ➡️ Facebook live avec Niko Tackian
Encore un live, avec Niko Tackian cette fois. Je n’ai pas pu le suivre en direct, faute à des obligations familiales…mais j’irai le regarder un soir de la semaine prochaine, car Nikko est un auteur que j’apprécie beaucoup. Je pensai acheter son roman lors des Quais, c’est partie remise.
SI CLARA N’AVAIT PAS AIMÉ CET HOMME, ELLE SERAIT TOUJOURS EN VIE.
Aujourd’hui, Clara n’est plus qu’un dossier sur le bureau de Tomar Khan. On vient de la retrouver morte, flottant dans le magnifique bassin Art Déco d’une piscine parisienne. Le suicide paraît évident.
Tomar est prêt à fermer le dossier, d’autant qu’il est très préoccupé par une enquête qui le concerne et se resserre autour de lui. Mais Rhonda,son adjointe, veut comprendre pourquoi une jeune femme aussi lumineuse et passionnée en est venue à mettre fin à ses jours. Elle sent une présence derrière ce geste.
Pas après pas, Rhonda va remonter jusqu’à la source de la souffrance de Clara. Il lui faudra beaucoup de ténacité – et l’appui de Tomar – pour venir à bout de cette enquête bouleversante.
QUI RENDRA JUSTICE À CELLE QUI PLEURAIT SOUS L’EAU ?
Je vous propose les chroniques de ses précédents romans : « Fantazmë », « Toxique » .
17h45 ➡️ Guillermo Arriaga, ce que le polar représente pour lui
Dans une courte vidéo, Guillermo Arriaga nous donne sa vision du polar, mais c’est surtout l’occasion de découvrir cet auteur, acteur, réalisateur, scénariste et producteur mexicain pour le cinéma.
Dans l’Unidad Modelo, quartier trépidant du Mexico des années 1960, la violence est une affaire de la vie quotidienne. Pour Juan Guillermo, elle est
une présence obsédante, qui l’a privé de ce qu’il avait de plus précieux : son frère aîné, Carlos, aussi habile trafiquant que fervent lecteur, assassiné par les « bons garçons », une bande de religieux fanatiques protégés par les hommes du très corruptible commandant de police Zurita. Anéantis par le chagrin, ses parents meurent à leur tour dans un accident de voiture, le laissant orphelin
à dix-sept ans. Unique survivant de sa famille, Juan Guillermo jure de se venger des assassins de son frère.
Dans cette vie nouvelle placée sous le signe de la vendetta, seul l’amour fou de Juan Guillermo pour l’intrépide Chelo pourrait l’extirper de la spirale de destruction dont il est captif.
En contrepoint de cette histoire se déploie la quête d’Amaruq, un trappeur inuit lancé dans la traque sans relâche d’un grand loup gris à travers les forêts glacées du Yukon – un périple qui le conduira dans les profondeurs de la folie et de la mort.
Ces deux récits subtilement enchevêtrés forment une fresque puissante et féroce, faisant écho aux plus belles pages de Herman Melville et Jack London.
Une épopée magistrale qui tend un miroir troublant au lecteur, en lui dévoilant comment la société réveille le loup sauvage qu’est l’homme en puissance.
18h00 ➡️ Sonja Delzongle s’adresse à Caryl Férey
À défaut d’avoir pu le retrouver ce weekend à Lyon, l’auteure Sonja Delzongle taquine Caryl Férey dans cette vidéo ! C’est comme si on y était. 😅
Avec un jeu de vidéos, on peut suivre les questions-réponses de Sonja et de Caryl. Ce qui est sûr, c’est qu’ils s’y croient, et qu’ils n’ont pas encore trouvé comment faire disparaître leurs cadavres, car d’un côté comme de l’autre, ils sont les protagonistes d’hécatombes.
OK, je penserai bien à vous qui serez sur la Péniche ce soir, faites gaffe à ce qu’elle ne coule pas…
Effrayant, troublant, ténébreux, ainsi va le monde selon Hanah Baxter De retour à New York, la célèbre profileuse Hanah Baxter espérait reprendre le cours d’une vie normale, ou presque… Mais on n’échappe pas à son destin, encore moins à son passé, et celui d’Hanah est peuplé de démons. Baxter fait l’objet d’un mandat d’arrêt international, accusée d’un meurtre commis vingt ans auparavant, celui de son mentor, Anton Vifkin.Rapatriée en Belgique, Hanah accepte de collaborer avec le commissaire Peeters, chargé de rouvrir l’enquête. La découverte d’un homme dévoré par des pit-bulls en pleine forêt de Seignes les lance sur la piste d’un manoir qui semble étrangement familier à Baxter. Elle est déjà venue ici, du temps de Vifkin.Tandis qu’Hanah et Peeters se débattent en plein mystère, quelqu’un les guette. Un tueur redoutable, à qui il reste une dernière balle passée à l’or fin, la balle qui aurait dû atteindre Hanah vingt ans plus tôt…
Voici les chroniques des livres de Sonja ; « Cataractes » , « Boréal » , « Récidive » , « Quand la neige danse »
Pour la première fois depuis des décennies, paramilitaires, FARC et narcotrafiquants ont déposé les armes et sont sur le point d’aboutir à un accord de paix. La guerre civile aura laissé derrière elle des milliers de morts et de disparus.
En politicien avisé, Saul Bagader a réussi à s’arroger une place de choix auprès des artisans de la paix. Mais des corps mutilés rappelant les pires heures de la Violencia sont retrouvés aux quatre coins du pays.
Lautaro Bagader, fils de Saul et ancien militaire désormais chef de la police de Bogota, ne sait sur qui porter ses soupçons : narcos, anciens Farc ou paramilitaires opposés au processus de paix ? Il doit impérativement faire cesser l’hécatombe au plus vite, avant que la presse ne s’en mêle, même si, pour cela, il doit ouvrir cette boîte de Pandore qu’est son histoire familiale.
Voici mon retour de Paz.
18h30 ➡️ Coup de cœur de la librairie Le Bal des Ardents
La librairie Le Bal des Ardents de Lyon est partenaire des Quais du Polar, je vous laisse le lien vers leur site internet : https://www.lebaldesardents.com/
Ces professionnels du livre nous livrent l’un de leurs coups de cœur :
« La petite fille qui en savait trop » de Peter May
Bruxelles, 1979. Alors que Neil Bannerman, un journaliste d’investigation envoyé par le Edinburgh Post, découvre les us et protocoles de la jeune Communauté européenne, un homme d’un tout autre calibre arrive lui aussi du Royaume-Uni. Ancien combattant des forces armées britanniques, Kale est devenu un tueur professionnel redoutable et s’il a rejoint le continent c’est pour une exécution. Un crime qui serait parfait si une étrange petite fille, incapable de parler ni d’écrire, mais extraordinairement douée en dessin, n’en était le témoin. Tania saura-t-elle donner un visage à l’assassin de son père ? En aura-t-elle le temps ?
19h ➡️ Nicolas Leclerc vous propose des extraits de films noirs incontournables
J’attendais avec impatience de pouvoir rencontrer Nicolas lors de ses quais. Je vous propose ma chronique de son roman « Le manteau de neige » .
Malgré les efforts de ses parents pour la soigner, Katia est haptophobe et ne supporte pas que quelqu’un la touche. Depuis le décès de son grand-père, tué par son épouse qui était dans un état végétatif depuis une trentaine d’années, la phobie de Katia évolue dangereusement.
#QDP2020 #PolarThérapie
Une journée top. J’ai découvert de nouveaux auteurs, j’ai retrouvé des auteurs connus, un live avec Franck Thilliez vraiment appréciable. On se console comme on peut, hein, c’est moins bien qu’en vrai, mais n’empêche que cela permet de baigner dans le monde du polar et de nous redonner le goût de lire. On rempile demain ? Perso, j’y serai !!!