« J’aimerais quand même te dire » de Charlie WAT

Informations :

Titre : j’aimerais quand même te dire

Auteur : Charlie Wat

Éditeur : auto-édition

Nombre de pages : 316 pages

Format  et prix : broché 9.90 € / numérique 3.99 €

Date de publication : 9 décembre 2020

Genre : comédie romantique

Résumé :

Le bonheur prend parfois des chemins de traverse…

Depuis qu’un terrible accident lui a pris Maryline, la femme de sa vie, Michael n’a plus la moindre musique en lui. Un soir, en cherchant un peu de sa présence dans ses affaires, il tombe sur un billet d’avion dont elle ne lui a jamais parlé. Le poison du doute s’immisce en lui : et si Maryline n’était pas celle qu’il pensait ?

Fou de douleur et d’incompréhension, Michael n’a plus qu’une idée : découvrir coûte que coûte le secret de Maryline. Débute alors un voyage qui promet bien plus que prévu…

Mon avis :

Le premier chapitre nous met directement dans le bain : un groupe de musiciens sont victimes d’un accident de bus après un concert. Michael Wright, le chanteur du groupe, en ressort indemne. Sa petite amie, Maryline, la bassiste, par contre, ne survit pas.

Nous retrouvons Michael six mois plus tard. Il vit dans un magnifique duplex en plein cœur de Manhattan. Il est totalement dévasté. De star internationale il est passé à zombie, n’étant plus qu’un fantôme de lui-même, incapable de reprendre la musique, toujours sujet au même cauchemar. Darell, son ami d’enfance devenu son assistant, fait tout pour l’aider à se remettre à flots.

Michael va découvrir que la femme qu’il aimait avait des secrets, et n’était pas forcément celle qu’il croyait si bien connaître. Il va partir à la recherche de la vérité, remuer la fange du passé, quitte à s’envoler pour le bout du monde afin d’y arriver. Toujours accompagné de ce cher Darell.

Le lecteur s’embarque avec ce duo étrange, tout aussi avide de découvrir la face cachée de Maryline. J’ai adoré cette histoire. Si Michael s’avère être un personnage touchant, Darell, quant à lui, est absolument délicieux ! J’ai vraiment apprécié cet homme, son humour, son côté décalé et ses répliques juteuses.

J’affectionne de plus en plus ces histoires qui plongent le lecteur dans un sorte de monde parallèle, une bulle de douceur, loin de tous les soucis actuels. On se prend une belle bouffée d’optimisme, et que ça fait du bien !!! Le récit est léger, mais malgré tout, il nous fait nous poser de belles questions sur l’existence et les gens que l’on côtoie. Les connait-on vraiment ? Et comment surmonter la perte d’un être cher ? Grâce à Michael, nous avons un début de réponse. Il passe par toutes les phases du deuil, et la présence de Darell est essentielle pour lui afin de ne pas sombrer encore plus.

La plume de Charlie est claire, vivante, élégante. Les descriptions, des lieux ou des personnages, sont suffisamment suggestives pour nous insuffler le côté « visuel » de l’écriture, nous permettant de s’immerger totalement dans l’histoire.

La fin est originale, elle m’a beaucoup touchée. Le message qu’elle instille est à méditer et à ne pas oublier !

La couverture est superbe, très girly. Rien qu’en la regardant, on a déjà le cœur qui s’illumine ! Quant au titre, devinez à quelle chanson il se rapporte ?

Charlie met la juste dose d’humour et de gravité pour nous proposer un roman qui met du baume au cœur. Allez-y, vous passerez un bon moment !

Je remercie Charlie pour cette lecture pétillante.

#JAimeraisQuandMêmeTeDire    #CharlieWat

J aimerais quand meme te dire.jpeg

En bref :

Ce qui m’a poussé à ouvrir ce livre : la couverture m’a happée.

Auteur connu :  j’ai découvert Charlie tout à fait par hasard, et je ne regrette pas de m’être penchée sur ses romans ! Retrouvez mes chroniques de  « Si tu crois un jour que tu m’aimes » et « On s’est aimés comme on se quitte ».

Émotions ressenties lors de la lecture : que du bonheur ! Bon, de la tristesse aussi par rapport à la mort de Maryline, privant Michael de l’amour de sa vie. Mais j’ai ressenti beaucoup de joie, d’empathie, et j’ai ris !!!

Ce que j’ai moins aimé : RAS

Les plus : la plume de Charlie, les personnages, l’humour omniprésent, le côté réflexion, la couverture, la fin !

Une réflexion sur “« J’aimerais quand même te dire » de Charlie WAT

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