Informations :
Titre : un amour de chat
Auteur : Melinda Metz
Éditeur : Archipoche
Nombre de pages : 327 pages
Format et prix : poche 7.95 €
Date de publication : 6 février 2020
Genre : comédie romantique
Résumé :
Jane, 34 ans, a connu l’année de l’Homme égocentrique, l’année de l’Homme qui a oublié de dire qu’il était marié, l’année de l’Homme qui ne s’engage pas… Et combien d’autres déconvenues encore ?
Alors, c’est décidé : cette année sera la sienne ! Une année au cours de laquelle elle accomplira ses rêves. Une parenthèse loin du lycée où elle enseignait l’histoire. Une année loin des hommes, surtout !
Mais MacGyver, son adorable chat, ne l’entend pas de cette oreille. Cupidon facétieux, il s’est fixé pour objectif de briser la solitude de Jane.
Mon avis :
Voilà une lecture qui m’a laissée sur ma faim. On ne peut pas dire que je n’ai pas aimé, j’ai passé un bon moment, mais voilà…les émotions n’étaient pas franchement au rendez-vous. Je vais essayer de vous décortiquer tout cela !
Jane Snyder, 34 ans, professeur d’histoire, décide de redémarrer sa vie à zéro, après plusieurs déconvenues amoureuses. Elle quitte son travail, déménage dans le quartier original et huppé de Storybook Court, à Los Angeles. Cette année sera la sienne ! Objectif : faire ce qui lui plait, découvrir de nouvelles choses, mais surtout, ne pas s’affubler d’un mec. Le seul mec de sa vie, c’est son chat, MacGyver.
Jusque là, tout va bien, je me régale ! Cela s’annonce très bien. Jane va faire connaissance avec ses nouveaux voisins, déjà, là, je tique légèrement. Ils sont trop envahissants, trop pénibles, ils se mêlent de tout et surveillent chacune des allées et venues de Jane. Sa voisine lui tend un mug de café tous les matins dès qu’elle met le pied dehors, vous imaginez ?
On fait la connaissance de David, qui a perdu sa femme 3 ans auparavant et dont le deuil s’avère compliqué. Adam, son ami, souhaiterait le caser ! Et MacGyver, lui, voudrait bien trouver un mâle pour sa maîtresse, qui dégage un peu trop une odeur de solitude à son goût. Vous imaginez la suite ? C’est cousu de fil blanc. Le difficile sujet de la perte de l’être aimé aurait pu être un peu plus fouillé, sans tomber dans le mélodrame bien sûr, mais je trouve que cela aurait apporté de l’épaisseur à l’histoire, ainsi qu’une base de réflexion.
J’ai adoré les passages dans la peau du chat, il m’a vraiment bien fait rire ! Les tribulations de David avec Doug, son chien, également. La plume est assez fraîche, fluide, ça se lit vite, l’humour est présent mais je n’ai pas été conquise. Il y avait trop de longueurs et pas assez de surprise, bref, je me suis ennuyée. De plus, je n’ai ressenti aucune empathie pour les personnages, la plupart étaient trop caricaturés et m’ont agacée.
Pourtant j’avais besoin d’une lecture légère et divertissante. En lieu et place, je me suis enfoncée dans la relation entre Jane et David qui ne m’a pas passionnée du tout.
Je vous rappelle que cela ne vous empêche pas (bien au contraire) de découvrir ce roman. Il sort en poche, vous ne risquez donc pas grand chose, à part prendre une bonne bouffée d’air (ce que j’espère !).
Je remercie les Éditions de l’Archipel pour cette lecture.
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En bref :
Ce qui m’a poussé à ouvrir ce livre : la couverture ! J’adore les chats, du coup, la petite boule de poil avec ses lunettes de soleil m’a fait de l’œil ! Le résumé avait l’air pas mal, j’avais besoin d’une lecture légère.
Auteur connu : je la connaissais de réputation, mais je ne l’avais jamais lue.
Émotions ressenties lors de la lecture : beaucoup d’impatience et d’envie au début, et ensuite, de l’agacement vis-à-vis des personnages, de l’ennui par rapport au déroulé de l’histoire, de la déception à la fin, qui ne m’a pas mieux convaincue.
Ce que j’ai moins aimé : les personnages secondaires, le rythme, la prévisibilité de l’histoire, la fin, trop bâclée.
Les plus : se retrouver dans la tête du chat, intéressant ! Le concept de départ, avec le projet de vie de Jane.
J’ai eu un hamster qui s’appelait MacGyver… 😏
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