Coucou mes petits rats de bibliothèque. Ca y est, j’attaque mes congés ! Quatre semaines de liberté totale, dont deux passées au bord de la mer. Inutile de vous dire que je vais beaucoup, beaucoup lire !!! J’ai préparé ma PAL de vacances, je vous montre ?
Voici ma PAL papier, tout d’abord !
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« Les corps conjugaux » de Sophie de Baere
Fille d’immigrés italiens, Alice Callandri consacre son enfance et son adolescence à prendre la pose pour des catalogues publicitaires et à défiler lors de concours de beauté. Mais, à dix-huit ans, elle part étudier à Paris. Elle y rencontre Jean. Ils s’aiment intensément, fondent une famille, se marient. Pourtant, quelques jours après la cérémonie, Alice disparaît. Les années passent mais pas les questions. Qu’est-elle devenue ? Pourquoi Alice a-t-elle abandonné son bonheur parfait, son immense amour, sa fille de dix ans ?
Portrait de femme bouleversant, histoire d’un amour fou, secrets d’une famille de province : ce texte fort et poétique questionne l’un des plus grands tabous et notre part d’humanité.
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« Le voyage de Cilka » d’Heather Morris
« L’extraordinaire courage de Cilka face au mal et sa détermination à survivre envers et contre tout vous hanteront longtemps après avoir fini ce livre déchirant. » The Express
Cilka Klein n’a que 16 ans lorsqu’elle est déportée. Très vite remarquée pour sa beauté par le commandant du camp de Birkenau et mise à l’écart des autres prisonnières. À la Libération, elle est condamnée pour faits de collaboration et envoyée dans un camp de Sibérie ; c’est alors un deuxième enfer qui commence pour elle. Au goulag, où elle doit purger une sentence de quinze ans, elle se lie d’amitié avec une médecin, et apprend à s’occuper des malades dans des conditions inimaginables. C’est ainsi qu’elle rencontre Alexandr, et qu’elle se rend compte que l’amour peut naître même dans les moments les plus dramatiques.
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« La librairie de la place aux Herbes » d’Eric de Kermel
La librairie de la place aux Herbes à Uzès est à vendre ! Nathalie saisit l’occasion de changer de vie pour réaliser son rêve. Devenue passeuse de livres, elle se fait tour à tour confidente, guide, médiatrice… De Cloé, la jeune fille qui prend son envol, à Bastien, parti à la recherche de son père, en passant par Tarik, le soldat rescapé que la guerre a meurtri, et tant d’autres encore, tous vont trouver des réponses à leurs questions.
Laissez-vous emporter par ce voyage initiatique au pays des livres…
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« La promesse » d’Eric de Kermel
Quel monde allons-nous laisser à nos enfants ? L’enjeu intergénérationnel de l’écologie est immense. C’est en écrivain, en amoureux des récits et des lois qui unissent les hommes et les femmes au vivant qu’Éric de Kermel dessine les pistes pour répondre à cette question.
Nous nous étions habitués à faire reposer l’ordre du monde sur la promesse faite à nos enfants d’un monde meilleur. Aujourd’hui que nous savons cette promesse impossible, quel sens peut-il y avoir à faire des promesses qui ne peuvent être que fragiles ? Et si c’était cette fragilité qui permettait de transmettre le désir d’entrer en lien avec tout le vivant ? Et s’il fallait compter avec cette fragilité-là pour redonner sens à l’écologie ? Les pistes que dévoile le romancier résonnent avec les photos de Yann Arthus-Bertrand, où la terre vue du ciel est à la fois porteuse de blessures arides et de promesses fécondes. Un dialogue riche et puissant pour nourrir nos imaginaires d’horizons plus vastes et de possibles renouvelés.
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« Demain matin si tout va bien » de Cécile Krug
Garance a trente-cinq ans. Elle est chômeuse, célibataire, et amoureuse d’Edgar. Un problème, Edgar veut la quitter ! Bien décidée à le reconquérir, elle retrouve du boulot, devient assidue des salles de gym, se ruine chez l’esthéticienne, fait de nouvelles rencontres, et s’offre au passage quelques amants. Jusqu’à ce qu’elle se rende à l’évidence : elle et lui, c’est fini. Pourtant, malgré sa mère et ses dîners piégés, et grâce à Arthur, l’ami fidèle et homosexuel, et à ses quatre copines inséparables, le prince charmant est au coin de la rue.
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« Alabama 1963 » de Ludovic Manchette et Christian Niemiec
Birmingham, Alabama, 1963. Le corps sans vie d’une fillette noire est retrouvé. La police s’en préoccupe de loin. Mais voilà que d’autres petites filles noires disparaissent…
Bud Larkin, détective privé bougon, alcoolique et raciste, accepte d’enquêter pour le père de la première victime. Adela Cobb, femme de ménage noire, jeune veuve et mère de famille, s’interroge : « Les petites filles, ça disparaît pas comme ça… »
Deux êtres que tout oppose. A priori.
Sous des airs de polar américain, « Alabama 1963 » est avant tout une plongée captivante dans les États-Unis des années 1960, sur fond de ségrégation, de Ku Klux Klan et d’assassinat de Kennedy.
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« Pasteur à la plage » de Maxime Schwartz et Annick Perrot
Pourquoi Louis Pasteur est-il célèbre ? Etait-ce pour la découverte de la vaccination? Pour l’invention de la pasteurisation ?
Ces découvertes ont construit la légende mais, au-delà, Louis Pasteur nous a révélé un monde étonnant, celui des microbes, comme Christophe Colomb a découvert l’Amérique.
Installez-vous confortablement dans un transat et partez à la découverte de ces bactéries et de ces virus vecteurs de maladies mais aussi essentiels pour notre équilibre et celui de la planète.
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« Paris-Briançon » de Philippe Besson
Rien ne relie les passagers montés à bord du train de nuit n° 5789. À la faveur d’un huis clos imposé, tandis qu’ils sillonnent des territoires endormis, ils sont une dizaine à nouer des liens, laissant l’intimité et la confiance naître, les mots s’échanger, et les secrets aussi.
Derrière les apparences se révèlent des êtres vulnérables, victimes de maux ordinaires ou de la violence de l’époque, des voyageurs tentant d’échapper à leur solitude, leur routine ou leurs mensonges. Ils l’ignorent encore, mais à l’aube, certains auront trouvé la mort.
Ce roman au suspense redoutable nous rappelle que nul ne maîtrise son destin. Par la délicatesse et la justesse de ses observations, Paris-Briançon célèbre le miracle des rencontres fortuites, et la grâce des instants suspendus, où toutes les vérités peuvent enfin se dire.
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« Un amour retrouvé » de Véronique de Bure
« Il m’arrive une drôle d’histoire… »
C’est par ces mots que Véronique est accueillie cette nuit-là par sa mère, soixante-treize ans. Et c’est vrai que c’en est une, drôle d’histoire, celle de la réapparition d’un premier amour, premier chagrin aussi, dont elle était sans nouvelles depuis plus de cinquante ans.
Très vite va reprendre une cour à l’ancienne, faite de visites, de billets doux, de retrouvailles émues et de mains qui s’effleurent. Comment vit-on l’amour retrouvé à l’âge des tables de bridge et du temps qui s’étire ? Et comment, lorsqu’on est la seule fille de la fratrie et que l’on peine encore à faire le deuil d’un père trop tôt disparu, accepter l’intrusion de l’homme du passé et la liberté nouvelle d’une mère qui nous échappe ?
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« Raclée de verts » de Caryl Ferey
« Le foot me rend malade mais je regarde quand même : c’est comme les fesses, on peut pas s’en empêcher. Je suis un passionné que voulez-vous. Chaque année, je me tiens au garde-à-vous des grands rendez-vous européens, avec une sourde haine contre les Ritals (l’italien est truqueur), les Rosbifs (jeu engagé mais énervant, on ne sait pas pourquoi) et surtout les Chleuh (au-delà du souvenir de la finale honteuse contre le Bayern Munich, c’est la corporation entière qui dérange : un bon Chleuh est un Chleuh mort). En ce qui concerne les autres pays, ça va – généralement, on gagne. »
Le héros est fana de football, et plus spécialement des Verts, les Stéphanois. Nostalgique de leur grande époque, il suit pourtant leurs matchs aujourd’hui encore, mais uniquement à la télé car il est interdit de stade. Tout pour lui est référence au foot, une femme, un visage, un vieux ou une vieille qu’il va braquer pour le plaisir de s’occuper avant le match… Mais peu à peu il sent son corps lui échapper. L’odorat d’abord, puis l’ouïe. Jusque là rien de grave, cela n’empêche pas de regarder le foot. Mais que faire quand la vue est touchée… ?
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« Nouvelle Babel » de Michel Bussi
Jouant avec les codes du suspense, de la manipulation et du roman d’anticipation, Michel Bussi ne vous aura jamais autant fait voyager.
La méthode, calme et systématique, du tueur terrifia les trois enquêteurs. Qui était cet assassin progressant à visage découvert ? Déjà, leurs tabletas se connectaient aux bases de données planétaires de reconnaissance faciale. Plus personne ne pouvait rester anonyme dans le monde actuel. Dans quelques secondes, ils connaîtraient l’identité de ce monstre.
La suite du film fut plus sidérante encore.
2097. Sur une île privée paradisiaque inaccessible, de paisibles retraités sont assassinés…
Trois policiers, un journaliste ambitieux et une institutrice nostalgique s’engagent dans une folle course contre la montre pour préserver l’équilibre d’un monde désormais sans frontières, où la technologie permet aux humains d’être à la fois ici et ailleurs.
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« La chambre des merveilles » de Julien Sandrel
Louis a 12 ans. Ce matin, alors qu’il veut confier à sa mère, Thelma, qu’il est amoureux pour la première fois, il voit bien qu’elle pense à autre chose.
Alors il part, fâché et déçu, avec son skate, et traverse la rue à fond. Un camion le percute de plein fouet.
Le pronostic est sombre. Dans quatre semaines, s’il n’y a pas d’amélioration, il faudra débrancher le respirateur de Louis.
En rentrant de l’hôpital, désespérée, Thelma trouve un carnet sous le matelas de son fils.
À l’intérieur, il a dressé la liste de toutes ses « merveilles », c’est-à-dire les expériences qu’il aimerait vivre au cours de sa vie.
Thelma prend une décision : page après page, ces merveilles, elle va les accomplir à sa place.
Si Louis entend ses aventures, il verra combien la vie est belle. Peut–être que ça l’aidera à revenir.
Et si dans quatre semaines Louis doit mourir, à travers elle il aura vécu la vie dont il rêvait.
Mais il n’est pas si facile de vivre les rêves d’un ado, quand on a presque quarante ans…
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« La petite boutique aux poisons » de Sarah Penner
Lors d’une froide soirée de février 1791, à l’arrière d’une sombre ruelle londonienne, dans sa boutique d’apothicaire, Nella attend sa prochaine cliente. Autrefois guérisseuse respectée, Nella utilise maintenant ses connaissances dans un but beaucoup plus sombre :
Elle vend des poisons parfaitement « déguisés » à des femmes désespérées, qui veulent tuer les hommes qui les empêchent de vivre. Mais sa nouvelle cliente s’avère être une jeune fille de 12 ans, Eliza Fanning.
Une amitié improbable va naître entre elles, et entraîner une cascade d’événements qui risquent d’exposer toutes les femmes dont le nom est inscrit dans le registre de Nella…
De nos jours à Londres, Caroline Parcewell passe son dixième anniversaire de mariage seule, encore sous le choc de l’infidélité de son mari. Lorsqu’elle découvre sur les bords de la Tamise une vieille fiole d’apothicaire, elle ne peut s’empêcher de faire des recherches et va découvrir une affaire qui a hanté Londres deux siècles auparavant : « L’apothicaire tueuse en série ». Et alors qu’elle poursuit ses investigations, la vie de Caroline va heurter celles de Nella et d’Eliza. Et tout le monde n’y survivra pas…
Et ma PAL numérique…
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« Le mariage parfait » de Jeneva Rose
À trente-trois ans, Sarah Morgan est la meilleure avocate pénaliste de Washington DC et elle ne pourrait rêver d’une vie plus heureuse.
Adam, son mari, n’en est pas au même point. Sa carrière d’écrivain patine et sa relation avec Sarah, qui ne lui consacre que peu de temps, ne lui suffit plus.
Leur résidence secondaire devient alors pour Adam le refuge où s’épanouit sa liaison passionnée avec Kelly Summers. Mais un matin, tout bascule. Adam est arrêté pour le meurtre de Kelly, qui a été retrouvée poignardée dans la maison.
Sarah décide alors, à la surprise générale, d’assumer son cas le plus difficile à ce jour : défendre son propre mari, un homme accusé du meurtre de sa maîtresse !
Un premier roman admirablement ficelé sur la trahison et la justice, qui oscille entre drôlerie, cynisme et désespoir.
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« Les égarés » de Zoé Brisby
Un être humain peut vivre trois semaines sans nourriture, trois jours sans eau et trois minutes sans oxygène. Ils sont sept et ne se sont jamais rencontrés. Ils ont tous reçu une invitation pour participer à un stage de survie en Corse. Le long du GR20, leur randonnée s’annonce sous les meilleurs auspices jusqu’au moment où leur guide disparaît. Pour avancer, ils devront s’adapter et comprendre qui est à l’origine de ce piège. Un paysage idyllique, un groupe hétéroclite, un lien qui les unit : survivre.
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« La vie rêvée d’Ava » de Sophie Kinsella
Londonienne célibataire, Ava s’inscrit à un atelier d’écriture en Italie, où elle rencontre Matt, avec qui elle n’a que des points communs. Après une semaine de vacances à deux, ils reviennent à Londres, où Ava tente d’apprendre à connaître son nouvel amoureux. Mais la jeune femme est rapidement déçue par ses goûts, son appartement ainsi que ses relations avec sa famille et son ex.
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« Petiote » de Benoit Philippon
Pour récupérer la garde de sa fille, Gus, un père au bout du rouleau, se lance dans une prise d’otages dans l’hôtel de naufragés où il vit. Sa revendication ? Un Boeing pour fuir au Venezuela avec Émilie, sa petiote.
Pour ce plan foireux, Gus s’allie à Cerise, une prostituée à perruque mauve. À eux deux, ils séquestrent les habitants déglingués et folkloriques de cet hôtel miteux : George, le tenancier, Boudu, un SDF sauvé des eaux, Fatou, une migrante enceinte, Gwen et Dany, un couple illégitime enregistré incognito, Hubert, un livreur Uber jamaïcain, mais aussi Sergueï, un marchand d’armes serbe en charge d’un transit de drogue mafieux. Et bien sûr, Émilie, son ado rebelle de quatorze ans.
La capitaine de police Mia Balcerzak est la négociatrice de cette cellule de crise. Crise familiale, crise de la quarantaine, crise sociale, crises de nerfs… quoi qu’il arrive, crise explosive !
L’histoire d’un loser qui n’a plus rien à perdre.
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« Les ravissantes » de Romain Puertolas
Que s’est-il réellement passé en mars 1976 dans la petite ville de Saint Sauveur, en Arizona ?
C’est la question à laquelle tente de répondre le journaliste Neil Sheehan, confronté à une énigme qui divise la population : la disparition, sans mobile apparent, de plusieurs adolescents. Tandis que le shérif Liam Golden met tout en œuvre pour résoudre l’affaire, les mères des disparus accusent une communauté de marginaux qui s’est installée un an plus tôt dans les parages. Et pendant ce temps, d’étranges lumières apparaissent les nuits sans lune et la tension continue de monter entre les deux camps…
Comment démêler le vrai du faux ? À qui donner tort ou raison ? Distillant le doute, recoupant témoignages et informations réelles, Romain Puértolas invite le lecteur à mener l’enquête dans ce roman dont chaque page déjoue les certitudes.
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« Nous en resterons là » de Chloé Lambert
Margot, 17 ans, souffre depuis plusieurs mois de malaises fréquents et peine à se rendre en classe. Divers médecins ont échoué à la guérir. Jusqu’au jour où elle atterrit chez un psychiatre, le docteur Donnelheur. Face à lui, chaque semaine, pendant quarante-cinq minutes, Margot se heurte au silence des mots qu’elle ne trouve pas. Heureusement, le docteur Donnelheur se révèle être un très bon psy. Libérée de son secret, Margot reprend pied. Donnelheur devient un sauveur, un père, un maître à penser… Cependant, au fil des séances, le sorcier bienveillant et malicieux se mue en recteur insatisfait et colérique. Le sauveur serait-il devenu dangereux ? Jusqu’où les règles du cadre analytique seront-elles enfreintes ? Margot parviendra-t-elle à se libérer du piège qui se referme ? À moins que le sujet d’étude ne soit pas celui que l’on croit
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« Buck et moi » de Mateo Askaripour
Darren « Buck » Vender a 22 ans, il vit avec sa mère à Brooklyn. Major de promotion intelligent mais démotivé il a choisi de travailler comme barista dans un Starbucks de Manhattan.
Instinct ou hasard ? C’est en convaincant un habitué de changer de boisson qu’il va lui-même changer le cours de sa vie. L’homme d’affaires est tellement impressionné par son charisme qu’il lui propose de le rejoindre chez Sumwun, une startup au succès aussi fulgurant qu’opaque. Après un entretien surréaliste, et une formation infernale qui ressemble fortement à un bizutage, Darren (ou plutôt Buck, comme on l’appelle désormais), est embauché. Le problème, c’est qu’il ne sait pas bien pourquoi.
En vacances, j’oublie tout, sauf mes livres ! Les vacances sont souvent l’occasion pour moi de lire de tout mon saoul. J’ai choisi des lectures variées, qui me font de l’œil depuis un bon moment déjà pour certaines, dans lesquelles je vais plonger avec plaisir.
Aucune pression pendant mes congés. Je lirai peut-être toute ma PAL, peut-être pas. J’en lirai peut-être d’autre. Seul impératif : lire « Pasteur à la plage » et « Nous en resterons là », qui sont des services presses. Pour le reste, le feeling jouera…En tous cas, vous aurez des chroniques de la Boulimique à découvrir !
tu vas faire que lire ? tu ne te promènes jamais en vacances.
j’aimerais déjà pourvoir partir, et j’irais visiter les coins. Il faut dire que la plage et moi oui mais le soir quand les touristes partent bien rouges.
J’ai la plage à 20 km. Il va falloir que j’y songe un soir avec un pique nique ma poilue et tranquille sans personne autour de moi.
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Non je ne vais pas que lire ! Je vais chaque année au même endroit, donc je connais. Là, j’ai vraiment besoin de déconnecter, prendre du temps pour moi, flâner, ne pas courir après le temps ! Ça sera sport, piscine, plage (mais en fin d’après-midi, comme toi, et avec l’écran total et le parasol !). Et puis, tu sais, je ne peux pas passer une journée sans ouvrir un livre. Donc, là, sans contrainte de travail ou autre, je n’aurai rien pour m’arrêter lol ! Le bonheur !!! Bisous ma belle.
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tu as raison, déconnectes toi. j’aimerais avoir la chance de partir. Bonnes vacances.
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