Coucou la team littéraire, ce week-end a eu lieu la Fête du Livre de Saint-Étienne. Évènement incontournable pour moi, puisque c’est presque à domicile. Je vous raconte la première journée ?

J’avais posé mon après-midi, hop, 13 heures, direction le centre ville. Vous dire que j’ai hâte est un bel euphémisme !

On attaque fort avec les auteurs locaux ! Je suis dans le bain direct, puisque je les connais bien ! Ça fait du bien de revoir les copains.

Didier Esposito. J’avais beaucoup aimé « Une héroïne stupéfiante ». Je me suis empressée d’acheter « Candeur fatale ». D’ailleurs, je vous mets le lien vers le premier chapitre, magistralement lu par Sabrina, professionnelle de la lecture à haute voix.

Philippe Fontanel, que je ne présente plus sur le blog. Retrouvez ici la page regroupant tous les articles du blog le concernant. Je lui ai acheté son dernier bébé « Une lueur dans la nuit ». Il se déroule à Chalmazel, à 25 km de chez moi, le voyage devrait bien se passer !

Ne vous fiez pas à la poupée, on est dans un roman noir.

Jean-Luc Bizien. Allez, premier gros craquage. J’avais repéré ses deux tomes de « L’aliéniste ». J’avais prévu d’être raisonnable, mais cela n’était absolument pas possible. Visez ces couvertures superbes ! Elles seront du plus bel effet dans ma bibliothèque, vous ne trouvez pas ? J’ai donc acheté les deux tomes. Et là, je me suis dit que le week end allait être sympa, mais qu’il ne faudra surtout pas que je croise ma banquière…et mon mari…

Outre les couvertures, j’avais envie de me plonger dans ce Paris sombre du 19ème siècle. Oui, oui, vous avez bien entendu : un thriller historique qui me donne vraiment envie ! Comme quoi…Verdict dans quelques semaines.

Kate McAllistair. J’avais adoré sa trilogie du Lotus Rose. Elle vient de sortir son dernier tome de la trilogie « Le Palais des Mille Vents ». Je les stocke en attendant de les lire à la suite ! J’ai les deux premiers tomes en poche. J’attendrai la sortie du tome 3 en poche également (vous voyez, sur ce coup-là, j’ai été raisonnable !)

Philippe Besson. « Paris-Briançon », une histoire de train, lecture logique pour moi, vu mon grand amour pour la SNCF….Et « Ceci n’est pas un fait divers », ne vous fiez pas à sa couverture fraîche et colorée.

Je n’ai pas craqué, je n’ai pas acheté son dernier (j’attends ma médaille…).

Il n’y avait pas trop de monde en ce vendredi après-midi. On a pu prendre le temps de faire une photo.

Alexis Laipsker. Là encore le roman était déjà dans la bibliothèque. « Hurlements ».

Bérénice Pichat. J’avais vu passer son roman « La petite bonne », mais la voix de la raison m’a dit que non, je n’allais pas craquer.

Pourtant, Bérénice était super sympa et souriante, elle a même proposé de faire un selfie, alors que je n’achetais pas son livre. Un bon point de plus…Mais non, je n’ai pas craqué…

Laurent Malot. J’étais ravie de le revoir, ça faisait un bail ! J’avais un roman à lui faire dédicacer. Mais bon, il me manquait le troisième tome de sa trilogie avec Gange. D’autant qu’il n’est plus édité…Allez, je craque. J’achète. J’ai bien fait, vous êtes d’accord avec moi ? (Dites oui, pitié !). Fin de la série de 30 minutes sans achat de livre…

Retrouvez la page regroupant les chroniques de ses romans ici.

Christophe Girard, le mari de Clélie Avit (qui est une auteure que je vous conseille). Il écrit des BD historiques. J’en ai une à la maison, d’ailleurs. Il va falloir que je la lise. J’ai été contente de le revoir et de prendre des nouvelles.

On ne s’ennuie pas avec Christophe, c’est le moins que l’on puisse dire ! Un clown en puissance, pourtant, vu ce qu’il écrit, il aurait de quoi être sérieux.

Deloupy. Rencontré à plusieurs reprises sur la Fête du Livre, mais aussi à la Librairie de Paris. Il va d’ailleurs falloir que je lise le roman graphique acheté à cette occasion…

Carène Ponte est arrivée. Une petite dédicace en passant…hop, ça, c’est fait. Pas d’attente, c’est chouette.

Deloupy m’avait parlé d’une exposition à quelques rues de là, j’ai été y faire un tour. Les Éditions Jarjille fêtent leur vingt ans.

Pendant ces deux décennies riches en découvertes, la maison d’édition a eu le privilège de publier 141 livres, issus du talent de plus de quatre-vingts auteurs. Leur catalogue regorge principalement de bandes dessinées, de romans graphiques et de bandes dessinées jeunesse, tous imprégnés de la passion qui les anime.
Attachée à ses convictions, Jarjille a opté pour les circuits courts, privilégiant ainsi l’impression de ses ouvrages dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. De plus, ils accordent une attention particulière à leurs auteurs, en leur offrant des droits d’auteur compris entre douze et trente-trois pour cent, afin de valoriser leur travail et respecter la chaîne du livre dans son ensemble.

Deloupy – Carnet de Sainté

Philippe Luguy – Inspiration

Zelba – États dame

Zelba – La mouette

Retour sous le chapiteau des dédicaces.

Gaëlle Josse. J’avais lu « Ce matin-là », qui m’avait beaucoup touché. J’ai été ravie de revoir Gaëlle et de papoter quelques minutes.

Olivier Merle. Retrouvez la chronique de « Les entrailles du mal »

Il y a de l’animation vers le coin des bouquinistes !

Direction la Gayola, pour un spectacle.

Le Magic Mirrors accueille le Festival Les Mots en scène. Ce cabaret littéraire propose des adaptations des textes des auteurs invités sous la forme de spectacles et de performances.
Compagnies de théâtre et de danse, designers, artistes visuels offrent la mise en espace exclusive de romans, essais, BD, livres jeunesse. Une seule règle : le texte n’est pas modifié. Transportés par l’interprétation, les lecteurs découvrent autrement l’œuvre littéraire.

La compagnie Icone Graphik nous présentait son interprétation du tome 1 de « L’Enquête de l’aliéniste » de Jean-Luc Bizien, en présence de l’auteur.

Un petit resto avec ma fille pour clore dignement cette journée.

Voilà pour cette première journée. De l’émotion, de belles rencontres, de la magie. Tout ce que j’aime. On se retrouve très vite pour que je vous raconte comment s’est passé le samedi !