Coucou mes petits rats de bibliothèque. J’espère que vous avez bien attaqué 2023 ! Janvier est terminé, place au premier bilan de cette nouvelle année de lecture !

J’ai lu 14 romans ce mois-ci.

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« La petite couturière du Titanic » de Kate Alcott est un roman de femmes qui dissèque les relations humaines et la façon dont les gens agissent pendant une crise.

« Ceci n’est pas un fait divers » de Philippe Besson (bon ok, lui, je l’ai lu en décembre lol). Autour du sujet du féminicide, Philippe tisse un roman époustouflant qui ouvre le débat.

« La reine et le génie » de Céline Dominik-Wicker est un conte sur l’amour. Thème universel et inépuisable. L’histoire de Mélilune met en avant des valeurs, une belle morale, un joli message d’amour.

« Aimer encore » d’Olivier Vojetta développe l’histoire d’un amour virtuel, une rencontre via internet. D’un amour toxique, aussi.

« La maison aux livres » d’Enis Batur est un petit bijou écrit par un amoureux des livres qui s’adresse aux amoureux des livres.

« Sur un arbre perché » de Gérard Saryan. Une famille recomposée, une disparition, et la descente aux enfers commence….

« Buck & moi » de Mateo Askaripour est un livre ambitieux pour lequel l’auteur a pris un risque. C’est une réflexion intéressante de l’expérience d’une minorité gravissant l’échelle sociale. Il reste une petite déception pour moi malheureusement.

« L’île de Yule » de Johana Gustawsson est mon premier coup de cœur de 2023. Tout colle parfaitement, tous les ingrédients sont là pour vous faire passer d’excellentes heures de lecture.

« La petite ritournelle de l’horreur » de Cécile Cabanac présente un sujet brûlant qui touche le cœur du lecteur. Une lecture qui ne laisse pas indifférent, qui bouleverse. Il faut quand même avoir le cœur bien accroché, la lecture étant toujours difficile lorsque ça touche des enfants !

« A l’encre rouge » de Marjorie Tixier est un roman sur la maternité, les regrets, la culpabilité, les rêves. Une lecture perturbante, un roman d’initiation avec un personnage haïssable à souhait, une thématique dure et un récit mené tambour battant.

« Quoi qu’il en coûte » de Jean-Jacques Monchalin. Une intrigue plantée dans les années soixante, un détective privé et une affaire intrigante à souhait.

« Ce n’était que la peste » de Ludmila Oulitskaïa est un texte court, ou novella, qui se lit d’une traite et pose une multitude d’interrogations. Où, pour la seule fois de l’histoire soviétique, les services de la sécurité d’État sont intervenus pour le bien du peuple. 

« Le bureau d’éclaircissement des destins » de Gaëlle Nohant. Un roman nous permettant de partir sur les traces de la guerre et de découvrir son impact à l’époque actuelle. Un lien permettant à la Mémoire de ne pas s’effacer. Un roman sur la filiation, que j’ai vécu comme un passage de flambeau et dont je me souviendrai longtemps.

J’ai lu également ce mois-ci « Le manège de la vie », le nouveau roman de Delphine Giraud à paraître le 9 février prochain. Je publierai mon retour lecture à ce moment-là, encore un peu de patience.

Ce mois-ci, je vous ai proposé un article sur notre relation au livre.

Le blog a revêtu son look de février. Et j’ai changé mon feed Insta pour présenter mes lectures en cours, vous aimez ?

Voilà pour ce bilan, avez-vous lu certains de ces romans ? N’hésitez pas à commenter ! Je vous dis à très vite pour de nouvelles aventures littéraires.